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Catherine GOULLETQUER, vingt années d’écriture

À l’occasion de la publication d’une de ses nouvelles dans le recueil Bêtes en scènes, Catherine GOULLETQUER revient sur son parcours de romancière.

“Cela fait 20 ans cette année que j’ai commencé à être publiée. Mon premier ouvrage a été « Femme de la Côte », une biographie d’ostréicultrice pour laquelle j’ai obtenu le Prix littéraire des Mouettes (Charente-Maritime) en l’an 2000. Mais en fait, j’ai obtenu mon premier prix littéraire à 14 ans et j’avais aussi reçu le prix de la nouvelle « Marie de Butlar » de la Saintonge Littéraire dès 1995.

Cette année, trois de mes nouvelles sont publiées. La première dans ce premier recueil « Bêtes en scènes », qui réunit des auteurs de Poitou-Charentes dont je fais partie car je suis d’origine charentaise. La seconde, dans le recueil à paraître très très bientôt dans le recueil des Romanciers Nantais « Ecrits Vins de Nantes » et la troisième en septembre. Mais chut ! je n’en dirai pas plus.

Le recueil « Bêtes en Scènes » est dédié aux animaux et à nos relations avec eux. Nous avons tous des souvenirs intenses, merveilleux ou dramatiques, avec les animaux, domestiques que nous avons eus, ou bien sauvages. Les animaux sont souvent psychopompes, c’est pourquoi les histoires que nous racontons à leur sujet nous concernent aussi de façon très intime.

Les oeuvres que j’ai publiées depuis vingt ans sont signées  Catherine Simon ou Catherine Simon-Goulletquer, ou encore Catherine Goulletquer ou enfin Kerin Dupeyrat. Le premier est mon nom de jeune fille mais, quand j’étais étudiante à Paris, des Catherine Simon, il y en avait 32 dans l’annuaire. Le second est mon nom d’épouse mais je ne suis pas bretonne. Le troisième est le nom de plume que je me suis choisi depuis au moins 20 ans, celui qui, à mon sens reflète le mieux ma véritable identité et sous lequel je me sens la plus llibre d’écrire qui je suis. Je suis aussi la fondatrice des Editions du Pérat.

Fidèlement au titre du recueil « Bêtes en scènes », la gestation de l’ouvrage a été « éléphantesque ». Autrement dit, elle a pris un peu de temps mais je suis sûre que toutes nos histoires sont bonnes à  entendre. J’ai hâte de vous raconter la mienne !”

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