Nouvelles – Contes – Textes courts

Les Romanciers Nantais ont publié de nombreux ouvrages ; seules leurs dernières parutions sont présentées ici par ordre alphabétique d’auteur. Pour consulter leurs bibliographies complètes, se reporter à leur page membre.


L’estuaire éd. Ex-aequo 2011 – Thérèse ANDRÉ-ABDELAZIZ


Estuaire. Confluences. Mémoire du temps, mémoire des lieux, mémoire des hommes, mémoire d’exil, mémoires métissées. Mémoires multiples et imaginaires, mémoires revisitées nourries et charriées par les eaux mêlées – douces et salées – du Fleuve et de l’Océan : la Loire et l’Atlantique. Triptyque et jeux de miroirs. Cinq nouvelles ouvrent le premier volet : le port de Saint-Nazaire et l’Estuaire de la Loire. Dans le second volet, neuf nouvelles s’inscrivent au cœur de Nantes (quartiers) puis s’élargissent en cercles concentriques à partir du centre de la Ville avec quelques échappées sur les berges de la Loire et riverains. Troisième volet, trois nouvelles d’évasions sur les « ailleurs » générés par Nantes, son passé portuaire, qui va du Mississipi à la Mer Baltique en passant par le Sénégal, son présent et peut-être son futur… On retrouve ces « ailleurs » dans les autres textes, en filigrane, intimement mêlés aux lieux et aux hommes. Très présentes également les musiques et la peinture. L’ensemble est rédigé dans une écriture pointilliste en spirales et entrelacs qui évolue à l’intérieur d’univers différents, avec des variances, selon le thème et les personnages. Certains sont ancrés dans la réalité – voire le quotidien – d’autres sont imprégnés d’onirisme et/ou de fantastique, mais ils se rejoignent ou coexistent parfois dans un même texte. La frontière est ténue. Il y a, dans ces nouvelles, une pointe de romantisme, de réalisme, de poésie, d’humour et toujours de tendresse. A l’image de la vie.

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Chemin d’heures : textes poétiques – éd. Chloé des Lys 2019 Thérèse ANDRÉ-ABDELAZIZ


Heures rebelles. Heures nomades. Heures tendres. L’essence d’une vie.

Chemin d’heures
à l’envers
ne peut se faire

« Poésie consciente, qui donne conscience poétique. (…) D’un mot qui luit, qui vole, ou qui saigne. Sans parler du rythme, qui peut être haletant, comme le coeur de celle ou de celui qui marche, qui parcourt le chemin, qui marche son poème. »
Éric Simon, poète


Ferme la porte en sortant : récit – Ex-aequo 2015 Thérèse ANDRÉ-ABDELAZIZ


« A l’intérieur de ma tête ça tourne à vide. Une poulie ou je sais quoi, des mots et des choses que j’essaie d’effacer. Mais tu lis dans ma tête et je lis dans la tienne, ma fille, quand on se parle comme aujourd’hui. Avec notre langage à nous, le langage de nos doigts qui se rencontrent et qui s’étreignent sous la tablette où sont posés mon étui à lunettes, mon goûter chocolat pain d’épice et le programme télé que je feuillette même pas.
On s’absente des autres si les autres sont là, on les entend plus on est comme seules toi et moi. Nos doigts se disent tellement de choses ! Et nos yeux aussi. Plus que dans toute notre vie ensemble et après. C’est vrai que je cause pas, que tu causes pas, c’est vrai que je fais que te regarder et que tu fais que me regarder. C’est vrai que nous plongeons dans les pensées de l’autre très loin si loin comme jamais nous n’avons plongé. C’est vrai que tu lis en moi et que je lis en toi. Tout est devenu simple on dirait. Si simple que les mots ne servent à rien et qu’on se rejoint comme quand je te portais dans mon ventre (…)
Tes doigts me rassurent ils sont aimants. J’ai toute ta main dans la mienne sur mes genoux maintenant… »

Dire le vieillissement de la mère est difficile. L’urgence de l’écriture s’est imposée avec pudeur, tâtonnements, tendresse et silences sur plusieurs saisons


Reflets de Loire :Textes poétiques en légendes d’un album de photos – Loire pour tous 2002 Thérèse ANDRÉ-ABDELAZIZ


C’est le couplage d’un cliché et d’un texte, explicatif, poétique, au nombre de cinquante-trois. « Rituel ancestral du pêcheur relevant ses bosselles sous l’arche du pont, cortège festif des barques réglé sur le rythme cadencé des rameurs et jusqu’à l’étrange litanie des sentinelles du fleuve berçant la redécouverte des chemins d’eau : Butte des Léards, Pierre Bécherelle, Folie Siffait, Trentemoult… tout concourt à donner à cette traversée les allures d’un parcours initiatique. (…) La plus modeste barque de Loire recèle dans ses flancs un trésor de savoir-faire. Luigi le Vénitien et Jean le Ligérien le savent bien. Les voici réunis le temps d’une traversée. » – André Péron (écrivain)


Verseau mon ombre : poèmes Nouveaux Cahiers de Jeunesse – 1964 Thérèse ANDRÉ-ABDELAZIZ


« Toi et moi, ce n’est pas seulement le titre d’un recueil de Paul Géraldy, c’est notre roman à tous. Oui, à nous tous, puisque, comme l’a écrit jadis Voltaire, parlant d’amour : »Qui que tu soies, voici ton maître… »

Eh bien, c’est seulement cela – qui est tout un univers – que chante, avec une simplicité prenante, et une grâce fluide, Thérèse Abdelaziz.(…) cette romance de la jeunesse est exprimé avec une sincérité qui émeut notre sensibilité parce qu’elle réveille en nous nos premières impressions, celles que le vieillard même retrouve en lui alors que tout le reste de son existence qui demeure confus et le plus souvent est oublié » – Auguste Bergot, Président des Jeux floraux de Bretagne.

 


Un hiver en EHPADYvonne ANDURAND


Un hiver en EHPAD est un recueil de nouvelles dont les personnages principaux vivent ou travaillent en institution.

La longévité est un phénomène de société nouveau qui se manifeste parfois sous des aspects assez inattendus. À travers ce récit, l’auteur donne à voir, sous un jour poétique, la vie des résidents et des soignants dans cet espace clos. Les personnes âgées ne se résument pas à leur grand âge, elles sont riches d’une histoire individuelle qu’elles ont souvent cessé de raconter. Chez chacune d’entre elles, c’est l’authentique de l’être que l’on rencontre, dénué de tout artifice. Sans nier la souffrance et les difficultés des uns et des autres, 20 histoires de vie sont esquissées, dans un va-et-vient entre le présent et le passé.

Un hiver en EHPAD est un livre d’amour dans le sens le plus large du terme.

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Des cadavres dans les placards Philippe AYRAUD


Des cadavres dans les placards s’intéresse aux non-dits, aux occultations de la mémoire, qu’elle soit individuelle ou collective. Les personnages de ces nouvelles ont tous un compte à régler avec leurs attitudes passées, parfois même avec l’Histoire. Derrière les apparences interroge l’envers du décor : la réalité des choses et des êtres est-elle bien celle que nous percevons ? Les protagonistes de ces récits, individus ou peuples, apprendront, hélas à leurs dépens, que les apparences sont souvent trompeuses.

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Nos rendez-vous manqués  Philippe AYRAUD


Les dix-huit nouvelles qui composent le recueil mettent en scène des personnages à la dérive, qui n’ont pas pu ou pas su saisir leur chance… Des textes drôles ou amers, où l’on croise Jean Moulin et Alzheimer, des guérilleros en rupture de ban… Des anges aussi…

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Écoute, laurier fleuri Sylvie BEAUGET


Éditions Atelier du Gué

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Capitaine de projets Sylvie BEAUGET


Il est beau de faire des projets. Projets professionnels, projets de vie meilleure ; de bonheur peut-être pas, s’en sortir serait déjà bien…

Vus du creuset d’une boîte de formations, c’est toute une humanité qui passe, aucun parcours de vie ne ressemble à un autre et les fameux projets sont parfois cocasses, irréalistes, éphémères. Qu’importe, il faut essayer d’accompagner. Car en face aussi ils ont des projets, d’optimisation, de rationalisation, de « décrutement ». À ce jeu, c’est rarement le plus précaire, le plus inadapté, le plus faible qui gagne.

Avec Capitaines de projets, sa toute dernière publication, Sylvie BEAUGET nous donne à sa façon des nouvelles du monde du travail.

Capitaines de projets, Sylvie BEAUGET, éditions Rhubarbe, 2021.

 

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Le murmure de Noël Jacky BLANDEAU


Marin vit dans la rue depuis le décès accidentel de sa femme, Romane, et de ses deux enfants, Emma et Kevin. Une nuit de Noël, alors que chacun s’est enfermé chez soi pour fêter en famille l’évènement, Marin assiste, incrédule, à l’atterrissage d’un traîneau sur le toit d’une vieille demeure bourgeoise. Le clochard vivra dès lors une fabuleuse aventure dans un monde qu’il avait toujours rêvé mais qu’il pensait légendaire. Au bout du chemin, une extraordinaire surprise l’attendra… À travers ce roman à destination des adultes et des enfants à partir de 10 ans, Jacky Blandeau nous fait revivre les Noëls de notre enfance. Laissez-vous, à votre tour, porter par la légende de Santa Claus.

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Sur le fil Pierre BUSSIÈRE


« Sur l’Île Nafarino, au sud du Chili à Puerto Williams, port où font souvent escale les marins avant d’affronter le passage du Cap Horn, repose sur le flanc Astraeos, un beau voilier de douze mètres démâté et portant encore les blessures d’une fortune de mer… »
Qu’allait faire ce voilier au « cap des tempêtes », au large de toute vie ?
Une histoire prenante et originale comme celle de la grand-mère surprise par la grande marée, d’un homme en quête incessante d’une nouvelle vie, d’un père au tribunal des parents, d’un dépressif perfusant de son sang un delphinium symbole de son amour perdu, ou encore celle d’un condamné dans le couloir de la mort depuis 1137 jours et qui restera, à sa manière, maître de son destin.

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Les rocambolesques journées de l’Île de Nantes Pierre BUSSIÈRE


Quand, avec l’aide des zadistes de Notre Dame des Landes, des sortes de « pieds nickelés » demandent l’indépendance de l’île de Nantes et en ferme tous les accès. édité chez Vent d’Ouest .

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Faut arrêter de décoller Daniel CHAIGNE


Faut arrêter de décoller constitue le tome X de la saga des contes animaliers écrits depuis décembre 2001 par Daniel Chaigne et publiés aux Éditions du Petit Véhicule sous le titre Les Contes du conteur bourré.
Par le biais d’histoires rocambolesques et saugrenues, l’auteur s’amuse à aborder les sujets les plus sensibles de notre société : le racisme, l’intolérance, la désinformation… Derrière un humour dévastateur et déjanté, l’auteur livre une analyse amusée et nostalgique du monde dans lequel nous vivons, une critique redoutable et pleine de dérision des puissants qui nous gouvernent, un jugement sévère et plein de tendresse sur chacun de nous.
Faut arrêter de décoller, conte plein d’humour, révèle les dons d’observation de Daniel Chaigne et se situe dans la lignée d’un Ésope, d’un Jean de La Fontaine ou d’un Marcel Aymé.
L’idée de ce dernier récit trottait dans la tête de l’auteur depuis longtemps… En 2007, à la suite de ce qu’on a appelé le « Grenelle de l’environnement », il a cru que sa contribution était devenue inutile… Il ne faut jamais baisser la garde.

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Trente comme un, trente communes Collectif


C’est à travers leur passion de l’écriture que vingt-cinq écrivains de Loire Atlantique ont décidé d’unir leurs talents pour vous présenter un ensemble de textes sur les communes du département. L’aboutissement de ce projet se trouve aujourd’hui entre vos mains : un magnifique recueil alliant poésie et polar, humour et nostalgie, et dans lequel chaque lecteur reconnaîtra un lieu, un village ou une rue qu’il a arpenté. 25 nouvelles sur les communes de Loire-Atlantique. 25 biographies d’écrivains.

Jacky Blandeau Roger CoupannecYannick Guilbaud

 


Caïn ne dormant pas ou meurtres à la petite semaine Alain-Pierre DAGUIN


Péché capital, la colère possède la lamentable réputation d’être mauvaise conseillère. Caïn s’est laissé stupidement emporté à l’aube des temps… Mais l’humanité ne serait certainement pas là où elle en est si ce sang chaud avait su pratiquer l’assassinat comme l’un des beaux-arts. Il suffit de lire la presse pour être convaincu, à l’heure de la  » vingt-cinquième  » ou dernière heure.

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Les effacements – Jean-François DIETRICH


Berlin Est, une jeune femme décide de rechercher ses origines ; un livre de Stefan Zweig à demi calciné peut-il changer le cours des choses ; Madeleine, chausse du 37 et veut retrouver une amie d’enfance ; comment appeler des jumelles quand on n’arrive pas à les distinguer…

Les Effacements parlent de disparition mais, comme dans toute rupture, de nouveaux départs, de possibles envisageables.

Jean-François DETRICH, après son recueil « En corps présent » et son roman « Une terrasse au soleil » poursuit son exploration des événements du quotidien qui viennent en un instant de rupture interroger nos vies et la liberté de nos choix.

L’écriture garde sa douce ironie, son humour distancié et sa tendresse pour les personnages. Elle ne juge jamais même si elle est sans concession. Les nouvelles de Jean-François Dietrich sont des funambules, sur le fil du rasoir, en équilibre entre la légèreté et le tragique, l’ironie et la tendresse, les finitudes et les renaissances.

Le lecteur est invité à être témoin sans être voyeur, à construire sa propre opinion, en toute liberté.

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Complicités – Jean DUBY


Au fil des pages, vous allez découvrir un amour naissant, des mamans bien embarrassées, un stylo qui a des principes, une voiture récalcitrante, la perplexité d’une petite bretonne, un garçon qui n’en peut plus, un grand amour qui se termine mal , un bus pas très fréquentable et un papy un peu trop facétieux…

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Le Coffret de Joseph – Jean DUBY


Déjà six mois que mon Joseph est parti vers un monde meilleur. Saleté de cancer ! Lui qui ne fumait pas, ne buvait pas, ne faisait aucuns excès, il a fallu que cette bête immonde le prenne dans ses pinces et lui déchire les entrailles, pourquoi mon Dieu ? Je me console comme je peux en me disant que maintenant, au moins, il ne souffre plus. Cinquante ans de vie commune sans jamais nous quitter, enfin à part le travail bien sûr et aussi, trois fois par semaine, il retrouvait ses copains pour taper une belote ou faire un tiercé, mais il ne rentrait jamais tard. La crème des hommes je vous dis ! Moi aussi j’avais des copines. Nous allions au cinéma ou faire du lèche-vitrines. Mon Joseph, il exécrait les magasins, alors il me laissait partir sans regrets.

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Le questionnement de Marine – Jean DUBY


Au fil des pages de ce recueil, vous allez découvrir la perplexité d’une petite Bretonne, un stylo qui a des principes, un amour naissant, des mamans bien embarrassées, une voiture récalcitrante, un garçon qui n’en peut plus, un grand amour qui se termine mal, un bus pas très fréquentable, l’inquiétude d’une Quichenotte, une curieuse conférence, un petit air qui trottine et un papy un peu trop facétieux…

 

 

 

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En corps présents – Jean-François DIETRICH


Isabelle reçoit au réveil un texto lui annonçant le décès de sa mère. Il va lui falloir quitter son bureau avec baie vitrée pour se rendre à l’enterrement. Elle va retrouver son frère, il faudra parler de la maison à vendre, des objets à se partager, se souvenir de ce qui fut, mais ce retour aux sources sera aussi pour elle la découverte d’un passé enfoui.
Madame Michu aime les voyages organisés mais là, décidément, non, ce n’est pas possible, c’est un scandale. Elle va tout raconter à Odette sa voisine… Badou perd un peu la mémoire, beaucoup la tête, elle ne se souvient plus très bien, elle ne se souvient plus du tout, pourtant des souvenirs vont resurgir mais pour quelle vérité, quelle réalité ?
Les nouvelles d’EN CORPS PRÉSENT ne condamnent pas les êtres mais ne cachent rien de leurs troubles. Chacun vit sa vie comme il le peut. Ces histoires viennent explorer nos séismes personnels, quotidiens. De faible amplitude ou véritables tsunamis, ils font vaciller les existences qui ne seront jamais tout à fait pareilles ensuite. Parfois on rit, souvent on sourit, de ce sourire un peu ironique et pourtant indulgent. On contemple ces corps présents dans leurs simples tempêtes. « Ces nouvelles décrivent avec délicatesse l’intensité de vies solitaires, fragiles, qui souvent indiffèrent. Le style coloré, parfois saccadé, toujours esthétique et chaleureux, apporte l’humanité qui manque à tous ces héros perdus, abandonnés. La plongée dans l’absurde ou dans la réalité mesquine de vies banales est d’une force saisissante, elle rassérène, envoûte, comme si elle avait le pouvoir discret de nous rendre meilleurs, plus attentifs, plus généreux…

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En Bretagne… ici et là  Yannick GUILBAUD


Quelques 40 auteurs de 40 nouvelles sur différents sites qui les on inspirés, émerveillés, marqués.
Une plage de styles, d’émois, de bonheurs différents, tous suscités par l’attachement à un coin de terre de Bretagne.
Gérard Allé ; Patrick Argenté ; Billes Baudry ; André Bienvenu ; Hervé Bellec ; Bernaud Berrou ; Martial Caroff ; Marie-Josée Christien ; René Cloitre ; Olivier Cousin ; Henri Droguet ; Gilles Durieux ; Roy Eales ; Hervé Eleouet ; Alain Emery ; Jean Failler ; Jean-Pierre Farines ; Irène Frain ; Roger Gicquel ; Guenane ; jean-Albert Guenegan ; Jean-Noël Gueno ; Yannick Guilbaud ; Angèle Jacq ; Alain Jegou ; Jacques Josse ; Jean Kergrist ; Goulc’han kervella ; Alain Le Beuze ; Arnaud Le Gouefflec ; Gérard Le Gouic ; Marc Le Gros ; Yvon Le Men ; claude le Menn ; Thierry Le Pennec ; Charles Le Quintrec ; Alain le Saux ; Jacques Poullaouec ; Pierre Tanguy ; Jacques Thomassaint.

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Le silence d’après Yannick GUILBAUD


Après un événement, quelle que soit sa nature, le silence qui suit est encore chargé d’émotion. Ce silence d’après, titre du recueil, est emprunté à l’une de mes nouvelles. Dans celle-ci, le silence est matériellement réel puisqu’il est la conséquence d’une terrible cacophonie !…sa symbolique n’en est que plus forte. Pour la dernière fois, un gardien de phare prend son service ; il va se souvenir des moments essentiels de sa vie. Un jeune homme, perdu dans la Forêt Noire, rencontre une femme sublime…rêve ou réalité ? Dès le lever, une autre femme songe à certains aspects de sa vie trépidante, à ses réussites, à ses échecs…à la journée qui l’attend où elle doit prendre des décisions irrévocables. Ce sont là, trois exemples de tranches de vies décrites dans mes nouvelles. D’observations en constructions inventives, j’aime suivre au quotidien ou dans leurs rêves mes personnages ; j’aime les gens…ceux qui souffrent, ceux qui aiment.

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Je t’envoie des nouvelles de Nantes  Yannick GUILBAUD


Une suite de nouvelles qui ne doit rien au hasard. De construction hardie, 7 nouvelles dans lesquelles les personnages sont mis en situation dans des lieux emblématiques du paysage nantais ; des lieux porteurs d’histoire et d’émotion.
L’auteur a voulu théâtraliser les évènements. Ainsi l’ouverture par LE MANUSCRIT DE L’ESCLAIN est une scène d’échange entre deux personnages : un adolescent se retrouve confronté à un très vieil homme dont la présence dans les anciens ateliers navals lui est hostile. Les autres nouvelles sont à l’avenant. Elles mettent en lumière des situations de paradoxe. Se trouvent confrontés l’étrange et le morbide ; le mystère et l’érotisme ; le drôle et le suspens.
L’auteur a pris du plaisir à les écrire…, vous en prendrez autant que lui à les lire.

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Contes et légendes de Brière  Gérard GUILLET


Ce livre est une invitation à la découverte, à la randonnée en Brière. Vous retrouverez les lieux des combats, des rêves et des espoirs anciens. Ils sont debout les menhirs semés par les géants porte-pierres ! Voyez les dolmens, les tumulus où se cachent les puissances invisibles. Admirez les ruines de châteaux, de moulins sur les rives et sur les îles. Du milieu de ce dédale de canaux de coulines et de piardes vous reviendrez enchantés et plus riches. Est-ce cela le trésor des krapados ?

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Bérurier noir – 30 nouvelles noires Stéphane PAJOT – Hervé SARD


Près de trente ans après la fondation du groupe, 30 auteurs rendent un hommage à Bérurier Noir. Au programme, 30 nouvelles noires inspirée d’un morceau du groupe. Avec : Jérôme Bertin, Marion Chemin, Guillaume de Prat, Dominique Delahaye, Jeanne Desaubry, Hugues Fléchard, Thomas Fleitour, Victor Grévillet, François Guilbert, Jean-Pierre Jaffrain, Stéphane Le Carre, Jean-Noël Levavasseur, Jean-Luc Manet, Jean Mareska, Jean Martial, Olivier Martinelli, Olivier Mau, Mathias Moreau, Franck Nurbel, Max Obione, <strong>Stéphane Pajot</strong>, Gilles Poussin, Olivier Roche, Sylvie Rouch, <strong>Hervé Sard</strong>, Bruno Schnebert, Vanessa Simon-Catelin, Gérard Streiff, Jan Thirion, Jeanne Tromel.

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Théâtre, quand tu nous tiens  Jean PÉZENNEC


Des comédiens en mal de reconnaissance prêts à tout, vraiment tout, pour se faire remarquer ; un animateur télé atteint d’un mal mystérieux lui faisant perdre toute substance dès qu’il s’éloigne des projecteurs ; un homme qui sur le théâtre de la vie se met soudain à jouer façon théâtre moderne : trois nouvelles satiriques sur le thème du théâtre.

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Le ministère du Pain Jean PÉZENNEC


Et si le Pain avait son ministère ? Un ministère du Pain ayant pour mission de mettre en œuvre une politique ambitieuse, avec la création dans chaque région une Direction Régionale des Affaires Boulangères chargée de porter la vision élevée du Pain du nouveau ministère… Tel est le point de départ de ce roman satirique, où l’on verra ce qu’il advint au fil des ans de la grande idée d’origine, en particulier dans la ville de Chroume où arrive bientôt à la tête de la Maison de la Boulangerie un autoproclamé « agitateur boulanger d’avant-garde ».

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